Et oui, c’est déjà la fin 2010, que le temps passe vite … Je vous souhaite de passer de bonnes fêtes de fin d’année et vous remercie de votre fidélité à mon blog qui ne fait que grandir avec le temps qui passe, et ça, grâce à vous ! (près de 22.000 visites en 5 ans !, c’est énorme !) Pour 2011, j’espère encore présenter plus de thèmes et d’articles pour vous, chers amis, chères amies internautes ! … Bien sûr de mon côté, j’essaierai de vous informer du mieux que je peux et vous soumettre quelques nouveautés pour cette année nouvelle ! Que 2011 soit votre année, que le bonheur soit votre allié, que le sourire soit votre invité et que la joie égaye vos soirées... Encore une fois, bonnes fêtes à toutes et tous ! Philox.
C'est dans la campagne péruwelzienne que le club "Bouilli" s'est donné rendez-vous ce mercredi 8 décembre pour clôturer cette année 2010.
La sympathique famille Bourdon-Labiau (4ème génération !) nous accueille dans leur petite distillerie située à Wiers. Avant de visiter le coin musée où se trouve le précieux alambic d'Auguste LABIAU, aïeul de Pierre et fabricant d'hydromel en 1894, nous dégustons déjà un verre d'Amer Labiau.
L'amer labiau est une liqueur apéritive comportant une trentaine de plantes aromatiques et surtout des écorces d'oranges amères séchées qui sont trempées dans de l'alcool éthylique pour obtenir un "bouillon" aromatisé. Ce mélange de plantes et d’alcool sera ensuite distillé à l'aide d'un alambic pour en extraire le parfum, l’arôme de chaque plante.
Ce distilla obtenu et extrêmement concentré, constitue la base pour la fabrication du produit fini composé d’alcool, d’eau distillée et de sirop de sucre. L'ajout de caramel apporte cette coloration très brune de l'apéritif . Malgré le froid extérieur, "l'amertume" de l'apéritif fait ses effets en revigorant "corps et coeurs" des membres qui s'empressent à la caisse pour acheter cet "elixir incomparable" ...
Après ce "chaleureux" apéro pédagogique, il est temps de rassembler les troupes quelque peu échaudées pour la 2ème partie de la journée dite gastronomique..., direction Pipaix, au restaurant "Le Plaisir des Prés".
A la Place de Pipaix, est situé « Le Plaisir de Près », un restaurant reconnu pour sa cuisine du terroir. Dans un décor raffiné et à la fois rustique, passé l’accueil soigné et agréable, nous nous installons pour festoyer dans la salle principale du restaurant agréablement décorée d’objets anciens et de peintures murales. Dès notre arrivée et à peine installés à table, nous avons eu droit à l’apéritif et son boudin blanc maison. Ensuite, après un bon bol de soupe de légumes de saison, c’est une salade folle façon périgourdine (aiguillettes de canard et gésiers confits) accompagnée d’une belle tranche de foie gras servi avec sa confiture d’oignons et son pain brioché qui nous a été proposée en entrée. En plat principal, c’est le jambonneau braisé (plat traditionnel qui revient souvent au club « Bouilli » !) avec croquettes et salade qui a captivé les papilles de nos membres. Pour terminer le repas, nous avons dégusté, comme dessert, une généreuse glace suivie d’un café et ses délicieuses mignardises.
Avant de mettre un point final au repas, le patron nous a gracieusement offert une dernière consommation et/ou un pousse-café… Qu’il en soit remercié C’est sans encombre (je crois ?) que tout le monde est rentré au bercail… Encore une bonne journée passée entre amis du « bouilli ». Merci aux organisateurs !
Les comédiens de la troupe des Nouveaux Troubadours de Rumes ont monté (trois fois !) sur les planches de la scène de la salle du « foyer Notre-Dame » à Rumes pour présenter avec brio la 3ème pièce écrite, mise en scène et interprétée par Baudouin DEROUBAIX : MARIAGE A TOUT PRIX !
Que dire de cette nouvelle pièce concoctée par notre scénariste local… C’était époustouflant !
Le nombreux public présent ne s’est pas embêté une seconde ! Rires et acclamations ont été ininterrompus durant toute la soirée. On a pu découvrir une pièce désopilante d'un bout à l'autre, servie par des dialogues jubilatoires...
En un mot, ce nouveau vaudeville était tout bonnement à mourir de rires !!! En effet, des quiproquos, des entrées et sorties intempestives des acteurs, des travestis, des tenues sexy et des dialogues pleins d’humour et de bons mots ont fait de cette pièce excellemment interprétée… UN GRAND CRU 2010 !
Ces soirées-là, on en redemande... Vivement l’année prochaine !
L’APPEL DE LA STEPPE d’Istanbul aux confins Mongols
Film présenté par Antoine de Changy
Au hall"Fernand Carré" à Rumes, le vendredi 26 novembre 2010 à 20 h.
Après avoir déambulé une année durant sur la route de la soie à travers la Turquie, l'Iran, l'Ouzbékistan, le Kirghizistan, la Chine et la Mongolie, Antoine de Changy et sa compagne Célina, décident de partager durant une année la vie d'une famille nomade dans les steppes de l'Altaï mongol… Ils y découvriront les réalités de ces terres impitoyables, sauvages et d'une beauté fascinante...
Le film
D’Istanbul, Antoine et Célina de Changy partent pour un voyage à vélo avec la seule ambition de créer des rencontres. Ce voyage, qui durera trois ans, va les mener dans les steppes de l’Altaï mongol, dans des terres où hommes et animaux luttent 8 mois de l’année contre le froid et les rigueurs d’un climat et d’une géographie impitoyables. Ils partageront une année avec ces éleveurs nomades afin de toucher aux réalités de vies pastorales soumises à des conditions particulièrement exigeantes.
Avant d’atteindre ces contrées et de s’y installer, ils cheminent une année durant au rythme des rencontres et des conseils reçus en chemin. Ils avancent le long de la route de la soie, à travers l’Iran, le Turkménistan, l’Ouzbékistan, le Kirghizistan, la Chine et la Mongolie.
Antoine et Célina de Changy
La seule justification à ce voyage est que nous en avons profondément envie, nous en avons urgemment besoin : nous éloigner des conforts et des sophistications occidentales, nous confronter à l’inconnu, nous remettre en question. Ce voyage ne cachait aucune ambition journalistique, littéraire ou photographique. L’idée d’un livre ne nous avait pas effleurée au départ, celle d’un film encore moins. Ce n’est que beaucoup plus tard, en rentrant après 34 mois sur la route, en recollant des morceaux de vidéo et en reconstituant le puzzle de photos que nous avons eu envie de raconter cette histoire. Pas notre histoire, pas celle de deux narcisses à vélos, mais l’histoire de toutes ces rencontres qui ne nous ont pas laissées intacts. Nous voulions rendre un hommage à une région dont la générosité recelait chaque jour de nouveaux trésors, à une humanité qui s’affranchissait d’un marasme économique, d’un isolement politique, d’un repli religieux ou de particularités géographiques pour nous ouvrir en grand sa porte, au simple motif que nous étions deux étrangers.
Le repas organisé par l'ASBL "Au Détour du Possible", ce samedi 23 octobre, en la salle Fernand Carré à Rumes a connu, comme lors des précédentes organisations, un énorme succès, plus de 400 convives s'y étaient donné rendez-vous. Si au moment d'aller chercher le plat principal, une longue file s'était formée, l'attente ne fut pas longue pour être servi, car, parfaitement rôdée en cette sixième édition, l'équipe de serveuses garnissait l'assiette en un temps record tandis que l'équipe du bar n'eut aucun moment de répit, les serveurs s'y succédant pour y déposer leur commande.
La tombola dotée de très nombreux lots vit tous les billets trouver preneur.
Pendant le repas, le duo "les Romantiques" a transporté le public au travers des époques et des rythmes, les succès des sixties, les chansons de toujours, les orchestraux au synthétiseur et les succès du jour étaient magistralement rendus... et connus de tous !
Moment émouvant lorsque la foule reprit en chœur la chanson "Joyeux anniversaire" à l'intention de Timour, un jeune homme qui fréquente la maison de Bruyelle.
Une soirée totalement réussie pour l'équipe de bénévoles qui se dévoue tant et plus pour apporter un petit plus au jeunes auquel l'ASBL "Au Détour du Possible" tente d'apporter un maximum d'occupation tout en poursuivant le travail réalisé durant la période de scolarité.
Sur l’aimable invitation de Philippe de la S.A. Dufour Energy d’Orcq, nous avons assisté à la 1ère étape du 70 ème Circuit Franco-Belge. Rendez-vous à l’Hôtel Altia à Neuville-en-Ferrain où le départ des bus était prévu à 9 heures. C’est sous la direction du sympathique Bernard Moreel, coordinateur du jour, que nous rejoignons le départ de la course à Templeuve(France). Sur la route, nous effectuons un petit détour pour visiter le Moulin de Vertain (construit au XVI ème et restauré à partir de 1978 par des jeunes bénévoles) ainsi que son musée. Pas de chance, les portes sont restées closes… Arrivés assoiffés au village V.I.P. de Templeuve, nous buvons quelques bières et passons rapidement au brunch bien achalandé (hot dog, pâté, jambons, omelette, fromage et frites !) afin de nous doper pour cette terrible étape de « montagne » qui nous attend. La présentation des équipes était richement commentée par le célèbre speaker cycliste, Daniel MANGEAS.
Le Franco-Belge 2010 - 30 septembre 2010
Sitôt le départ de la course donné, nous remontons dans notre car pour rejoindre dare-dare la Belgique et plus précisément les monts de Frasnes (Les Papins et le Bourliquet). Malheureusement, il ne nous a pas été possible d’accéder aux « hauteurs » du Pays des collines et nous devons nous contenter de la Place de Frasnes-lez-Anvaing et du rond-point des fourmis pour voir enfin les coureurs. Nous faisons également une halte au 2ème rush de la course devant les Ets Colette.be à Warcoing avant de rejoindre la ligne d’arrivée à Herseaux où 3 circuits locaux nous attendaient. Après chaque passage de la course, nous nous retrouvons au village V.I.P. pour déguster quelques bières. Au hasard des stands, nous rencontrons des personnalités locales et l’étonnante et surprenante Cindy, lauréate de l’émission télé-réalité « Dilemme » de Plug RTL, gonflée à bloc !!! Tandis que l’étape du jour était remportée au sprint massif par Adam Blythe (Omega Pharma Lotto) qui devançait Gérald Ciolek et Kristof Goddaert, nous terminons notre périple en allant à notre dernier rush de la journée, l’imprimerie Losfeld à Estaimpuis. La réception de clôture à laquelle, bien entendu, nous participons, avait lieu au restaurant « La Motte Brûlée » à 18 heures. Satisfaits et heureux mais éreintés aussi, nous rejoignons Neuville-en Ferrain dans un car « surchauffé » et animé par notre Bourvil local, Bernard MOREEL. Merci encore à Philippe ( Dufour Energy)… pour nous avoir offert cette agréable journée !
Par une brume froide et persistante, le club de "pêche" du personnel communal de Rumes s'était donné rendez-vous vers 7 heures du mat' et ce pour la 3éme année consécutive à l'étang du Rufaluche à Taintignies. Douze équipes de pêcheurs dont une féminine étaient en compétition.
Salle du hall culturel & sportif – Place Roosevelt - 1er octobre 2010 à 20 heures
Une balade romantique qui propose une remarquable vision de cette île aux charmes indéniables. Des premiers moines installés sur des pitons rocheux, aux fastes demeures de l'aristocratie, en passant par Dublin, sans oublier les terres du fameux Connemara… Voici l'Irlande, verte et tendre, fière et rebelle, vibrante et nostalgique… envoûtante !
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Renseignements et abonnements : Secrétariat communal (Philox) au 069/648.165
"Je suis rumoise âgée de 18 ans. Je suis inscrite à l'I.T.C.F Renée Joffroy d'Irchonwelz en 7ème qualification assistant aux métiers de la prévention et de la sécurité afin de m'engager, par la suite dans la police, de préférence dans la cavalerie. Je pourrai ainsi, exercer mon métier et ma passion qui est l'équitation.
J'aime rencontrer et discuter avec des gens d'âges, de cultures et de milieux différents. C'est pour cela que je me suis inscrite à cette élection. Honnête, sincère, émotive, dynamique, sportive, je suis un petit bout de femme qui aime croquer la vie à pleines dents tout en gardant les pieds sur terre. Je me donne toujours à fond et les défis ne me font pas peur. D'ailleurs ma devise est "Allez toujours au-delà de ses limites". Pour mes petits défauts, je suis têtue et assez rancunière, surtout lorsqu'on me trahit en amitié. Je déteste l'hypocrisie. Je suis un peu gourmande et surtout très bavarde... Merci à toutes et à tous pour votre soutien. Fiona"
La brasserie HUYGHE à Melle(Gand) a ouvert ses portes pour accueillir les membres du club bouilli à l’occasion de sa rencontre trimestrielle de septembre.
C’est par un temps de chien (crachin persistant) et en car que ce mercredi 8 septembre nous nous sommes rendus dans la banlieue de Gand afin de visiter la brasserie à l’éléphant rose et surtout déguster la célèbrissime bière delirium tremens.
Dès notre arrivée, Monsieur David WOIGNON, Directeur commercial et Directeur de la production, de l’entreprise nous explique succinctement l’histoire de la dénomination et de l’origine de cette boisson fermentée en bouteille et en fût.
La Delirium Tremmens.
Le 26 décembre 1989, la « Delirium Tremens » voit le jour. La Brasserie produit cette bière blonde à la demande des Italiens. Elle est distribuée actuellement dans quelques 55 pays différents ! L'authenticité de la delirium provient de ses 3 levures différentes ainsi que de son emballage très particulier et original faisant penser à la poterie de Cologne. L'étiquette dépeint les différentes phases successives du « delirium tremens » (agitations, tremblements et hallucinations terrifiantes, excusez du peu !). Elle titre à 9° et c'est pas rien !
La Confrérie de l'Elephant Rose de Melle fut créée le 24 avril 1992. Elle a pour but de promouvoir, en Belgique comme a l'étranger, les vieilles traditions des bières régionales de Melle et plus spécialement la Delirium Tremens.
L'éléphant rose est né.
Nous entamons ensuite la visite de la plus ancienne brasserie gantoise en activité (depuis près de 300 ans !). Après avoir découvert les chaines d'embouteillage et d'enfûtage (360 fûts par heure), nous traversons rapidement les différentes salles à cuves à fermentation et filtrage de la levure et celles servant à la cuisson, au brassage et au filtrage du malt(ou orge)...et de houblon pour obtenir le moût.
Enfin, le musée s'ouvre à nous... Et, c'est tout en sueur que nous nous ruons vers le bar pour déguster le divin beuvrage tant attendu ! Une, deux, trois pils ingurgitées... ça fait du bien où ça passe...!
Notre soif étanchée, il est temps de passer à table pour festoyer... Que diable !
MENU DU JOUR : Foie gras servi avec du pain d'épices et au chocolat blanc ; Des médaillons de veau enroulés au canard accompagnés de feuilletés aux pommes de terre et d'un soufflé carottes et céléri (délicieux mais pas très chaud malheureusement); Assiette de gorgonzola et pour terminer par un sorbet à la Krieck.
C'est dans la bonne humeur et les mines "enjouées" (les oreilles chauffent !) que nous reprenons le car avec notre cadeau de circonstance aimablement offert par David Woignon et son épouse, nos hôtes du jour, une grande bouteille de "Delirium Tremens" . Merci de tout coeur ! Extraits pris sur le site de la BRASSERIE HUYGHE ... Delirium Tremens
Patt, El'Bout, Ron et moi sommes allés, ce mardi 31 août, participer au célèbre rendez-vous incourtournable des turfistes : le Grand Prix hippique de Waregem. Ce rendez-vous mondain et populaire est l'occasion pour toute la Belgique (ce qu'il en reste !) de fêter le cheval ! Exceptionnellement, Philox (grâce à son charme inéluctable !) a pu rencontrer, Mademoiselle Cilou Annys, notre charmante Miss Belgique 2010 qui a pris la pose très gentillement ! (Cilou, ik houd van jou !)
Un peu d'histoire... Dans le monde du turf belge, la réunion de Waregem est une véritable bouffée d'oxygène. Alors que la filière hippique du pays souffre depuis plusieurs années, la "Waregem Koerse" conserve un pouvoir d'attraction intact auprès des professionnels et du grand public. En Belgique, Waregem reste une véritable institution. Depuis 1858, l'hippodrome de Gaverbeek, situé sur la commune de Waregem, en Flandre, accueille la "Waregem Koerse". Cet évènement dépasse largement le cadre du sport hippique et s'impose comme l'une des grandes manifestations sportives du pays. Plus de 35 000 spectateurs viennent, chaque année, assister aux courses proposées ce jour-là. Un véritable miracle dans un pays où les courses hippiques connaissent un lent déclin depuis le début des années 1980.
Waregem est mixte et propose quatre courses d'Obstacle et quatre courses de Trot, l'un des grands moments de la journée reste le Grand Steeple-chase des Flandres. Cette course longue de 4 600 mètres réussit généralement bien aux Français.(extrait de Zone-Turf.fr)
Sous l’égide de l’Echevinat des Sports, les Rumois étaient présents, hier soir, au Mémorial Van Damme à Bruxelles.
"C’est avec beaucoup d’enthousiasme qu’à 18 heures précises sur la Place de Rumes, nous embarquons dans le car Leroy pour la capitale ! Nous prenons une collation (demi-baguette et boisson) durant le trajet qui semble « interminable » suite aux habituels ralentissements aux abords du ring Bruxellois.
Vers 19 heures 30, nous débarquons à un bon kilomètre du Stade Roi Baudouin et sous la houlette de notre maïeur, nous marchons d’un pas décidé en direction de cette « foutue » et introuvable entrée de la tribune 3.
Essoufflés mais ravis malgré tout (un km… ça use ! énormément), après un comptage minutieux de l’Echevin (au cas où quelques brebis se soient égarées du troupeau ? Ouf, le compte est bon !), nous arrivons enfin dans l’arène des gladiateurs de l’athlétisme mondial à 20 heures sous les applaudissements des 45.000 spectateurs (On peut qu’mincher, les Rumois sont là !).
Un stadium plein à craquer…, c’est impressionnant. Sous les commentaires « multilinguistiques » (ô pauvre Belgique !) et intempestifs d’un speaker légèrement incontrôlé, les épreuves du « Diamond League » se succèdent sous les applaudissements et les quelques timides « olas » du public.
Hormis les frères Borlée qui enflamment de temps à autre l’assemblée, le 34ème mémorial Ivo Van Damme n’est pas un grand cru en raison de l’absence de records battus et des forfaits successifs, de dernière minute, d’athlètes tels que Usain Bolt, Asafa Powel, Christophe Lemaître (au 100 m) ou encore Ariane Friedrich et Tia Hellebaut (au saut en hauteur). Néanmoins, nous sommes conquis par le spectacle unique d'une telle compétition sportive.
Après la remise des médailles aux différents vainqueurs, nous assistons au mini-concert du groupe Belge « Vaya Con Dios » et au traditionnel feu d’artifice de clôture du Mémorial. Après recomptage (mesure de sécurité oblige !), c’est dans la bonne humeur et les mines « enjouées » que nous rejoignons notre autocar garé à quelques centaines de mètres. Le retour se passe sans encombre… Place de Rumes, 1 heure du mat’… Fin de notre périple !"
C’est avec beaucoup de retard que je vous rapporte le déroulement de la journée du Club « Bouilli » de ce mercredi 9 juin dernier.
Le rendez-vous était donné à la maison communale de Frasnes-Lez-Anvaing à 10 heures. Nous avons été agréablement accueillis dans la salle du Conseil communal par Messieurs Jean-Luc CRUCKE et Bernard GRYMONPREZ, respectivement Député-Bourgmestre et Echevin de l’Enseignement et des Sports. Jean-Luc a, bien entendu, rappelé les différents atouts de sa Commune, à savoir : son école d’immersion, la zone économique créée sur le site de l’ancienne sucrerie, ses nombreuses infrastructures sportives, la société Rosier et tout récemment, la construction d’un crématorium.
Après cette brève « allocution » et la remise du cadeau de bienvenue (un recueil de photos intitulé « 13 » édité par l’Administration) , nous avons pu déguster les bières régionales telles que la Frasnoise et l’Anvinoise entre autres.
L’étape suivante, concoctée par nos amis Sylvain et Patrick, était la visite guidée et commentée du tout nouveau crématorium « les blancs arbres » érigé à Hacquegnies.
C’est avec dignité et un respect certain des lieux, que les membres ont pu découvrir les installations de ce complexe.
Le thème de la crémation étant un sujet délicat à aborder, je me limiterai essentiellement à vous décrire les éléments qui composent cette nouvelle infrastructure funeste mais néanmoins nécessaire.
Description :
Inauguré le 22 janvier 2010, le site se compose d'un crématorium intercommunal doté de deux salles de cérémonie, d'une cafétéria, et d'un parc cimetière de près de 2,5 hectares. Le crématoire dispose de deux fours équipés d’un système de traitement des fumées.
La végétalisation des abords du crématorium et du cimetière paysager a été réalisée en harmonie avec la palette végétale présente dans les environs du lieudit Coqueréaumont. De plus, le cimetière abrite un verger conservatoire géré en collaboration avec le Parc naturel du Pays des Collines et la Faculté agronomique de Gembloux. L’investissement total se chiffre à quelque 7,5 millions d’euros pris en charge pour 1/3 par l’intercommunale Westlede, qui gère le crématorium de Lochristi(en Flandre) et 2/3 par IDETA et ses Communes affiliées (Estaimpuis également) ainsi que quelques partenaires Français et Flamands.
L'Agence intercommunale IDETA a pris en main le suivi de la conception, de la construction et assure actuellement la gestion du Crématorium 'Les Blancs Arbres'.
Je tiens, au nom du groupe, à remercier Monsieur Olivier BONTEMS, Directeur, pour ses commentaires lors de la visite. A présent, nous partons à "La Maison Blanche" non pas celle d'Obama à Washington mais celle située sur la Place de Saint-Sauveur. Ce resto-grill très convivial et savamment décoré nous a proposé un menu savoureux et copieux. Le service était plus que parfait ! Trois bières artisanales en guise d'apéro, des escargots au beurre d'ail pour l'entrée, une belle côte de boeuf , un plateau de fromages et les bouteilles "Château Moulin Caresse 2008" nous ont permis de digérer cette "morne et funèbre matinée".
"C'est la bière dans le corps et non le corps en bière que nous sommes tous rentrés sains et saufs !"
