vendredi, novembre 12, 2010

Exploration du monde "L'appel de la steppe" - vendredi 26 novembre 2010



L’APPEL DE LA STEPPE
d’Istanbul aux confins Mongols


Film présenté par Antoine de Changy

Au hall"Fernand Carré" à Rumes, le vendredi 26 novembre 2010 à 20 h.

Après avoir déambulé une année durant sur la route de la soie à travers la Turquie, l'Iran, l'Ouzbékistan, le Kirghizistan, la Chine et la Mongolie, Antoine de Changy et sa compagne Célina, décident de partager durant une année la vie d'une famille nomade dans les steppes de l'Altaï mongol… Ils y découvriront les réalités de ces terres impitoyables, sauvages et d'une beauté fascinante...


Le film

D’Istanbul, Antoine et Célina de Changy partent pour un voyage à vélo avec la seule ambition de créer des rencontres. Ce voyage, qui durera trois ans, va les mener dans les steppes de l’Altaï mongol, dans des terres où hommes et animaux luttent 8 mois de l’année contre le froid et les rigueurs d’un climat et d’une géographie impitoyables. Ils partageront une année avec ces éleveurs nomades afin de toucher aux réalités de vies pastorales soumises à des conditions particulièrement exigeantes.

Avant d’atteindre ces contrées et de s’y installer, ils cheminent une année durant au rythme des rencontres et des conseils reçus en chemin. Ils avancent le long de la route de la soie, à travers l’Iran, le Turkménistan, l’Ouzbékistan, le Kirghizistan, la Chine et la Mongolie.



Antoine et Célina de Changy

La seule justification à ce voyage est que nous en avons profondément envie, nous en avons urgemment besoin : nous éloigner des conforts et des sophistications occidentales, nous confronter à l’inconnu, nous remettre en question.
Ce voyage ne cachait aucune ambition journalistique, littéraire ou photographique. L’idée d’un livre ne nous avait pas effleurée au départ, celle d’un film encore moins. Ce n’est que beaucoup plus tard, en rentrant après 34 mois sur la route, en recollant des morceaux de vidéo et en reconstituant le puzzle de photos que nous avons eu envie de raconter cette histoire. Pas notre histoire, pas celle de deux narcisses à vélos, mais l’histoire de toutes ces rencontres qui ne nous ont pas laissées intacts. Nous voulions rendre un hommage à une région dont la générosité recelait chaque jour de nouveaux trésors, à une humanité qui s’affranchissait d’un marasme économique, d’un isolement politique, d’un repli religieux ou de particularités géographiques pour nous ouvrir en grand sa porte, au simple motif que nous étions deux étrangers.



Photo et commentaires : http://www.explorationdumonde.be/

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