jeudi, décembre 31, 2009

Bonne Année 2010




Ami(e)s internautes,

Que cette année 2010 vous apporte tout ce que vous désirez et qu’elle vous réserve plein de
bonheurs inattendus ...




Philox

mardi, décembre 15, 2009

Le Club "bouilli" met la main à la pâte...à Templeuve.

Réunion du mercredi 9 décembre 2009.


A l’invitation de notre ami Bernard Moreel, membre du club bouilli, nous nous sommes rendus à Templeuve pour la visite de la boulangerie Devos (ex moreel) ce mercredi 9 décembre à 10 heures.

Telles des stars du festival du cinéma à Cannes, nous sommes accueillis par Vincent Devos, boulanger-pâtissier qui avait, pour la circonstance, dressé un tapis rouge à l’entrée de son magasin et de son fournil (atelier où l’on fabrique le pain, pour les ignares).


Une présentation des différentes machines-outils servant à la fabrication de pains et baguettes et autres produits dérivés : pistolets, sandwichs, croissants et pains au chocolat.
Les deux pièces maîtresses et indispensables du boulanger sont le four et le pétrin.

Je ne vais pas vous détailler les différentes phases pour faire un pain… mais sachez qu’il suffit de mélanger de la farine avec de l’eau, du sel et de la levure chimique ou levain (méthode artisanale), de laisser lever la pâte et de faire cuire (c’est un jeu d’enfant, koi ?).

Le pétrin (sorte de bétonneuse !), la diviseuse, la bouleuse, la lamineuse ou « bandeuse », l’allongeuse de baguettes et bien entendu le four constituent les principaux ustensiles mécaniques utilisés pour la confection et la cuisson des différentes pâtes.

Après cette brève présentation mais néanmoins intéressante, je remercie Vincent qui nous a offert quelques mignardises (petites pâtisseries gourmandes pour les novices en la matière !) accompagnées d’un vin rouge ou blanc savamment choisi.


Le Bouilli chez Devos à Templeuve -


La partie festive était programmée au restaurant « La Motte Brûlée » à Evregnies.

Avant de passer à table, notre hôte nous a servi un apéritif maison à base de pisang et une mise en bouche composée de haché, pain et beurre.
L’entrée était un toast « Montbéliard », sorte de gros croque-monsieur gratiné avec tranche de pain, pommes de terre et rondelles de saucisson de Montfort, le tout recouvert de fromage Morbier (Assez bourratif !).
Le délicieux cassoulet à la façon du chef et les pâtisseries de chez « Devos » sont venus clôturer ce repas plus que copieux !
En fin d’après-midi, le retour des « guerriers » repus et rassasiés s’est passé, à ma connaissance, sans encombre…



A l’année prochaine à tous !
Philox.

dimanche, décembre 13, 2009

Les Communaux fêtent leurs Saints Patrons à Rumes

Vive St Eloi ! Vive St Nicolas !


Ce 4 décembre, les membres ouvriers et employés du personnel communal de Rumes se sont réunis pour fêter leurs Saints Patrons respectifs (St-Eloi et St-Nicolas).
Le banquet annuel a rassemblé quelques 25 convives au Café de la Place à Rumes.

Christine, la sympathique tenancière, nous avait concocté et préparé un excellent menu.

Dès 12 heures, l’apéro de circonstance (Ricards, Picons et Pineaux), les chips, les cacahuètes et les nombreux zakouskis ont, très vite, réchauffé (non, pas la terre !) mais les cœurs et les esprits.

Ensuite, une savoureuse crème de champignons, servie très chaude, donna quelques sueurs et rougeurs aux mines déjà bien enjouées.
Une coquille de poissons délicieusement épicée s’en suivit, le tout arrosé de vin et bières à profusion (et non discrétion).


Un rôti de veau « Orloff » accompagné de chicons cuits, de salade et de frites à volonté nous a été servi avec la bonne humeur de l’intendance.

Le buffet de fromages, le café (avec bistouille pour certains) et la dame blanche terminèrent ce repas convivial et amical … A non, j’oubliais bien sûr… la rasade traditionnelle d’Irish Coffee aimablement offerte par le maïeur (Oh, peuchère !)




repas du personnel communal 2009 -


C'est vers 19 heures que ce clôtura cette après-midi pour les premiers convives et tard dans la nuit pour les irréductibles afters.




Rumes, le 04 décembre 2009.

Philox

lundi, novembre 02, 2009

Lever de rideau sur "Nestor, le timide et la cinglée" à Rumes







Dimanche 25 octobre, c’est en présence de quelques 200 personnes que j’ai participé à la dernière représentation de la pièce théâtrale de Baudouin Deroubaix à la fois auteur, metteur en scène, régisseur et interprète de sa 2ème comédie « Nestor, le timide et la cinglée » au foyer Notre Dame à Rumes.

Qu’en dire ?


Ce « vaudeville » est une comédie populaire légère pleine de rebondissements, de quiproquos les plus burlesques et de scènes loufoques, qui se termine dans un imbroglio inextricable des plus étonnants.

Dès que les trois coups sont frappés par le brigadier (bâton de bois) sur la scène, la petite scénette interprétée par les jeunes élèves de l’école de théâtre donne déjà le ton de la soirée.

En effet, la description humoristique et anecdotique des différents acteurs « amateurs » de la pièce est tout simplement délirante !
Après cela, dans un décor savamment choisi et bien éclairé, les comédiens se défoulent en "déboulant" au public enthousiaste, le scénario rempli de dialogues et répliques subtils, de jeux de mots et même de gags quelque peu improvisés…

En fait, tout y est… pour passer deux heures de rires et de délires :
les accessoires tels que la dive bouteille (Bacardi pour la der des ders !) et un fusil de chasse capricieux; les coiffures, costumes et tenues parfois légères; les claquements de portes engendrés par des allers et retours incessants des acteurs sur les planches et enfin, un majordome "delhaizement" raffiné ( Nestor alias Léon Bonnet) et un bouffon de service (Sébastien, le timide alias Baudouin Deroubaix)… sans oublier, bien entendu, les autres rôles tout aussi indispensables !

Un coup de chapeau à tous ces acteurs bénévoles… et un bravo plus particulier à Madame et Monsieur le Comte du Roc de la Houpe (alias Marie-Thérèse Lejeune et Olivier Deroubaix, néophyte pour l'heure) qui ont interprété leur rôle avec justesse et conviction.

Bref, les absents ont eu tort...
J'attends vivement l’année prochaine


vendredi, octobre 30, 2009

Exploration du monde - Madère, l' île aux mille couleurs

Rumes - Hall culturel "Fernand Carré"

Place Roosevelt

Vendredi 20 novembre 2009 à 20 heures





« Qui l’a visitée une fois ne pourra s’empêcher de revenir un jour ! »


Ce vieux proverbe de l’île de Madère garde toute sa pertinence tant les attraits que cumule ce petit territoire portugais sont nombreux.


D’ailleurs, ces terres d’origine volcanique, idéalement placées sur les routes des grandes navigations, ont été pendant des siècles l’objet de toutes les convoitises.
Son passé, hérité des grandes découvertes, comblera les amateurs d’art et d’histoire.


Aujourd’hui encore, cet archipel aux paysages grandioses et baigné par un climat subtropical attire, hiver comme été, de nombreux visiteurs.


Pourtant, Madère a gardé une bonne part d’authenticité avec son artisanat, son folklore, ses fêtes traditionnelles et son fameux vin ancré dans les traditions.
Vestige unique de l’ère tertiaire, la forêt laurifère est sillonnée par un dédale de canaux d’irrigation, les « levadas », qui en font un paradis pour les randonneurs.
Conjuguant les griseries de la vraie montagne et les douceurs tropicales, Madère a de quoi ravir tout un chacun.


Entre le sable blond de Porto Santo et les falaises abruptes de Madère, les activités et les évènements ne manquent pas dans la région de Funchal où la culture est riche et vivante.

Le cinéaste et conférencier, René Van BEVER invitera le public d’ « Exploration du Monde » à partager sa fascination pour ce bijou posé au milieu de l’Atlantique.

P.A.F entrée : 8 € ( abonnements toujours disponibles au prix de 16 € pour les 3 séances).

Tous renseignements en appelant le 069/64.81.65 ou 67.25.41(Philox)

mardi, octobre 20, 2009

Les Troubadours font leur comédie à Rumes


Baudouin DEROUBAIX, Roi du vaudeville !



Le Pitch.

C’est l’histoire de Sébastien du Bois de la Garenne, célibataire et très timide qui tombe amoureux de Phélicité du Val Pommeroeul.
Il décide d’aller prendre conseil auprès de Nestor, le majordome de son ami Hubert. Ce dernier prend les choses en mains et l’emmène au château de sa tante, la Comtesse du Roc de la Houpe, endroit où se trouve également Phélicité.


Ajoutez à cela…, un Comte porté sur la dive bouteille ; un cousin qui n’a pas sa langue dans sa poche ; deux ravissantes cousines ; une tenancière de maison close ; deux « escort boys » ; une femme de Préfet aux mœurs légères et… s’en suit plein de quiproquos…


Tous ces ingrédients composent un cocktail détonant qui vous fera passer deux heures d’humour et de rires !

samedi, octobre 10, 2009

SOUPER D'AUTOMNE de l'A.S.B.L. "Au détour du possible" samedi 24 octobre 09 au hall sportif à Rumes.

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Au détour du possible" à Bruyelle
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Les accueillis entourés de l'équipe éducative.

L'A.S.B.L. "Au détour du possible" vous invite à leur 5ème souper d'automne qui se déroulera au hall sportif à Rumes

LE SAMEDI 24 OCTOBRE 2009.

P.A.F. 13 € (adultes) et 7 € (enfants - 12 ans)

Réservations souhaitées à Dominique SCHLEICH (Présidente de l'association) au 069/64.97.74

Présentation de l'ASBL " Au détour du possible" :

"C'est en 1992 qu'est né, au sein du centre de réadaptation sociale et professionnelle "Le Saulchoir" à Kain, un projet de création d'une ferme thérapeutique.


C'est tout d'abord une exploitation agricole de Pottes qui accueillit les premiers jeunes handicapés pour des activités liées à la ferme (soins au petit élévage, entretien de l'environnement, hippothérapie, promenades dans la campagne...).


Depuis 1996, le projet possède ses propres installations dans les bâtiments et sur les terrains de l'ancien couvent des Pères Passionnistes à Ere, aux portes de Tournai.

Grâce à l'aide de Cap48, un manège fut construit à l'arrière de bâtiments et abrite une dizaine de chevaux (achetés sur fonds propres ou offerts par des services clubs).

Le centre fonctionne durant toute l'année scolaire et accueille principalement les jeunes fréquentant "Le Saulchoir", mais aussi d'autres groupes.

Sa finalité serait de pouvoir l'ouvrir, certains jours, à des personnes valides et moins valides dans un but d'intégration totale de la personne handicapée.


"Mieux connaître l'autre qui n'a pas la possibilité de se comporter comme nous, rompt l'appréhension que suscite cette différence et n'enferme plus la personne handicapée dans une sorte de ghetto moral".

Les responsables de l'asbl "Au Détour du Possible" ont aussi constaté que le cheval permet à l'enfant handicapé d'entrer dans un autre monde, un univers où, il est admis, cette fois, sans restrictions, où il se sent valorisé, où s'établit une sorte de connivence entre l'animal et celui qui le monte !

Les résultats obtenus sont assez étonnants, particulièrement avec les personnes autistes, elles qui, parfois, ne disent jamais rien parlent avec les chevaux !

L'hippothérapie, au plan psychomoteur, permet également à l'enfant handicapé d'exercer efficacement sa coordination motrice, ses schémas corporels et son orientation dans l'espace.

L'action de l'asbl "Au Détour du Possible" ne s'est pas arrêtée en si bon chemin. Soucieuse de répondre à une demande de parents dont l'enfant avait terminé la période de scolarité et pour lequel ils n'avaient pas trouvé de solution d'accueil de jour ou d'hébergement, elle a, depuis trois ans, au coeur du village de Bruyelle, modernisé en l'adaptant aux personnes à mobilité réduite une ancienne ferme.


Dès le mois de septembre 2009, une douzaine de jeunes y seront accueillis et occupés permettant ainsi de ne pas laisser s'installer l'inévitable régression consécutive à la rupture de repères lorsque la période de scolarité est finie."

Cet article a été rédigé et édité sur le blog de l'asbl Michaël qui soutient le projet depuis 1995.

Rumes, le 10 octobre 2009. Philox.

samedi, octobre 03, 2009

Fiona Bauzière de Rumes, première dauphine de Miss Hainaut













Election de Miss "Province de Hainaut"


Première Dauphine



Félicitations à Fiona Bauzière qui a été désignée, ce samedi 13 septembre 2009, première dauphine de l’élection de Miss « Province du Hainaut 2009 » remportée par Mademoiselle Juliette Delforge, Miss « Tournai 2009 ».

Fille d’un couple d’amis Pascal et Patricia, Fiona est âgée de 17 ans et habite Rumes. Elle est étudiante à l’Athénée Royal « Robert Campin » de Tournai en 6ème année en langues modernes (Elle apprend le néerlandais, l’anglais et depuis cette année, l’espagnol !).

Elle souhaite s’engager dans l’Enseignement ou devenir assistante sociale. Très sociable et bavarde, elle fait de la danse moderne et des abdos-fessiers. Après avoir pratiqué quelque temps la boxe thaïlandaise, elle se consacre actuellement à sa passion récente qui est l’équitation…et ça se voit par ses atours !


En maillot...hum !


Seule ou accompagnée d'amis(es), elle aime flâner et faire du shopping à Tournai (sa Ville natale) et aller au cinéma ou encore faire la fête en famille.
Elle voudrait se marier et avoir beaucoup d’enfants ! Avis aux amateurs, son n° GSM est .... 0477/ ◊◊◊◊◊◊.





Election Miss "Ville de Tournai"

Non !, plus sérieusement, après avoir terminé brillamment 4ème dauphine à l’élection de Miss Tournai qui s’est déroulée à Tournai-Expo, le 17 mai dernier, elle a également décroché « le prix scénique », lors cette Miss "Province de Hainaut".



Le Conseil communal de Rumes a mis à l'honneur Fiona Bauzière pour ce remarquable résultat.



Interdit aux moins de 18 ans


Fiona nue... cliquer sur ici !



Félicitations à cette souriante et sympathique rumoise !.



Bisous à Fiona... Philox

Voici les résultats complets de MISS PROVINCE DE HAINAUT :

MISS PROVINCE DE HAINAUT :
Juliette DELFORGE de Vaulx
(Miss Tournai)

Première Dauphine :
Fiona BAUZIERE de Rumes
(Quatrième Dauphine de Miss Tournai)

Deuxième Dauphine :
Mimsy COUPEZ de Mouscron
(Miss Mouscron)

Troisième Dauphine :
Cindy VANDAMME de Mouscron
(Première dauphine de Miss Mouscron)

PRIX SPECIAUX :
Maïté BOUTTEAU : Prix des Boys et le Prix de l’Elégance.
Stécy BRAECKEVELT : Le Prix de la Sympathie.
Caroline CARLIER : Le Prix de la Presse, le prix du Grand Hôtel, le Prix «Coup d’Coeur»
Juliette DELFORGE : Le prix du Public (Internet)
Fiona BAUZIERE : Le Prix scénique
Madison CORNIL : Le Prix de l’Avenir.

Rumes, le 03 octobre 2009.
Philox

samedi, septembre 12, 2009

Le bouilli touche le fond à Lessines !

Les Carrières Unies de Porphyre


Les bureaux


Ce mercredi 09 septembre à 11 heures, le club bouilli avait rendez-vous dans le fond des Carrières Unies de Porphyre (CUP) pour la visite de l’exploitation située à Lessines.
Un autre site existe également à Bierghes-Rebecq en Brabant wallon.

La société a pour principal objet l'exploitation, la transformation et la vente de granulats extraits des carrières de porphyre.

A savoir :


le porphyre est une roche magmatique filonienne très dure (lave de volcan) et les calcaires (comme à Cimescaut, par exemple) sont des roches sédimentaires plus tendres (pierre).

Etendue sur deux zones d’exploitation, l’une dite « fosse nord » pouvant extraire encore une dizaine d’années et l’autre « fosse sud » comprenant une réserve de quelques 140 millions de tonnes de roche, l’entreprise produit annuellement près de 2 millions de matériaux destinés aux marchés belge, français et hollandais.


Après une arrivée triomphante du « humper » ( genre véhicule de l’ONU à l’étranger ) de Max, escorté et fouillé par une meute de policiers et douaniers, le club « bouilli », réparti en deux groupes, est allé à la découverte de la carrière en minibus avec casques et gilets fluos obligatoires… sécurité oblige !



La descente dans la fosse

En haut du cratère principal, nous avons descendu dans la fosse d’extraction en empruntant un escalier caillouteux de plus de 300 marches où les poussières et la sueur ont imprégné la peau et les vêtements. En bas, nous assistons au ballet incessant des camions (chargeuses sur pneus) qui approvisionnent l’énorme broyeur-concasseur, élément indispensable à la carrière.

Notre guide, Benoît Vanolst, Directeur d’exploitation, nous a expliqué les différentes phases d’extraction et de transformation des roches et granulats.

Malheureusement, nous n’avons pas assisté à l’abattage de la roche à l'explosif car aucun tir n’est prévu le mercredi.

Après cette descente vertigineuse, une explication basique mais fort intéressante des activités de l’entreprise nous a été donnée par Rik Ophalffens, Directeur commercial.

Pour nous récompenser de notre assiduité et attention durant l’exposé, une collation (enfin) nous a été gracieusement offerte par nos hôtes.

Vers 13 heures, on a pris le départ pour la partie gastronomique de la journée au restaurant « Le Vieux Château » à Flobecq.
Le vieux château est avec l’église Saint–Luc, la ferme du Géron et le corps de logis de la ferme de l’Abbaye, un des rares témoins encore debout du passé féodal de Flobecq. Celui-ci se situe à deux pas de la demeure où réside notre Ministre Rudy Demotte (notre Sarkozy belge par la taille !).

Dans un parc verdoyant, nous avons dégusté les amuses-bouche et l’apéritif, le tout, sous les « cancans » des colverts qui envahissaient le plan d’eau.

L'équipe du Vieux Château à Flobecq


Malgré les en-cas de l’apéro, il était grand temps de passer à table.
Les plats se sont succédé dans une ambiance amicale : Millefeuille de truite et saumon fumé, Porcelet avec purée truffée et petits légumes, Café et Buffet de desserts...

Voici le diaporama de la journée :





A 17 heures, retour au Q.G. chez Francis à La Glanerie.


N.B. Excusez-moi pour l’édition tardive de l'article mais un bug informatique sur mon PC , le compte fermé de hotmail et la perte de mes notes ne m'ont pas permis d'émettre mon reportage plus tôt...

Rumes, le 09 septembre 2009.

Philox

mercredi, septembre 09, 2009

65ème ANNIVERSAIRE DE LA LIBERATION A LA GLANERIE




En 2009, on commémorait les 20 ans de la chute du mur de Berlin, les 40 ans des premiers pas de l’Homme sur la lune, les 20 ans de la manifestation des étudiants chinois sur la Place Tien An Men à Pékin… et bin, nous... on fêtait le 65ème anniversaire de la Libération de la Belgique à La Glanerie (Rumes).




Mercredi 02 septembre 2009 - CEREMONIE DE LA COMMEMORATION



Cérémonies officielles

Ce n’était pas le pont de la rivière Kwai mais le petit pont du rieu de l’Elnon à La Glanerie qui était mis à l’honneur ce 2 septembre 2009. Grâce à une « panne de GPS» d’un motard américain, notre entité rumoise s’est trouvée déclarée « Première Commune Belge Libérée ».

Les autorités communales avaient mis « les petits plats dans les grands » pour fêter avec faste, grandeur et solennité, l’évènement.

De nombreuses personnalités avaient tenu à rehausser ces cérémonies du souvenir.

La famille Royale était représentée par le Colonel Jockin, Aide de camp de Sa Majesté le Roi (porteu de bidons, koi !) ; le sympathique Colonel Horn, représentant militaire des States auprès du Shape ; le Commandant militaire de la Province de Hainaut, représentant Monsieur Pieter De Crem, nouveau Ministre de la Défense et le chaleureux Claude Durieux « el’gouverneu » du Hainaut.

Une peau de chagrin de politiques régionaux étaient présents…hormis le Député-Bourgmestre, Alfred Gadenne de Mouscron et le Député Fédéral, Christian Brotcorne de Leuze-en-Hainaut, que j’ai pu apercevoir dans l’assemblée (...ne seraient–ce pas des « personae non gratae » du ghota invité au mariage Princier à Antoing ?), personne d'autre n'était à signaler.

Après les présentations, les congratulations d’usage, les sempiternels discours de circonstance, « la populace » a pu découvrir le magnifique mémorial dont l’aménagement a été réalisé par la main d’oeuvre communale.

Celui-ci représente l’arrivée « du 1er vieux motard que jamais » qui a pénétré en Belgique avant de faire demi-tour, confondant le drapeau belge par l’allemand.


Plus sérieusement, la statue du soldat 1er libérateur américain a été confectionnée par Erik Dupon, sculpteur flamand de Poperinge. Celle-ci a été créée en polyester (couleur kaki) sur base de photos d’époque et d’une moto de collection prêtée gracieusement par Christian Delcampe, garagiste à Taintignies.

Devant une foule nombreuse, la Royale fanfare communale de Rumes interprétait les hymnes nationaux, les détachements militaires Américains et Belges rendaient les honneurs aux drapeaux et les véhicules militaires pavoisés déambulaient prés du monument commémoratif.

Ensuite, branle-bas de combat…tous, non pas aux abris, mais dans les cars pour l’ultime manifestation, de plein air, l’hommage de l’Armée Secrète à la stèle de Rumes qui est le point de jonction entre les forces américaines, anglaises et la Résistance belge.

Escortés par la colonne de véhicules militaires du club local « Hell on Wheels » (Enfer sur roues), les cinq bus bondés à souhaits, amenaient tout ce petit monde, en temps et en heure, à la Chaussée Montgomery pour assister au discours du Président de l’AS, Gérard Allard et à une interprétation émouvante du « Chant des Partisans » par les enfants des écoles rumoises.

En soirée, au hall culturel & sportif de Rumes où une réception était prévue, le Bourgmestre retraçait le destin « inoui » et décrivait les actes de bravoure de deux rumoises qui se sont illustrées durant l’occupation : Rachelle Duquesnoy et Henriette Hanotte, déclarées toutes deux Citoyennes d’Honneur de la Commune de Rumes.

Au risque de vous lasser par des mots, j’arrête ici ce reportage sur cet hommage. Je vous invite à visionner mon diaporama qui, je l’espère, résume au mieux, le déroulement de cette fin de journée :





Vendredi 04 septembre 2009 - EXPOSITION

Exposition à la Maison de village



Du vendredi à dimanche, une intéressante exposition se tenait à la Maison de village à La Glanerie.

On pouvait y découvrir une collection exceptionnelle de timbres, des émetteurs radio de l’époque, des costumes et uniformes en tout genre ainsi que des cartes postales relatives à la Seconde guerre mondiale.

mardi, septembre 08, 2009

Samedi 05 septembre 2009 - DEATH RIDE et FEU D'ARTIFICE




The Death-Ride
Ce samedi, ce n’était pas à la Foire de Tournai que les amateurs de sensation forte se trouvaient, mais bien, au pied de l’église Saint-Amand de Taintignies où était organisé un Death-Ride ( saut de la mort !) par la Régionale Para-Commando de Mouscron.

Le DEATH-RIDE consiste à se laisser glisser sur une corde tendue du sommet d’une falaise ou d’un édifice.

En ce qui nous concerne, c’est au sommet du clocher de l’église qu’un câble avait été tendu.
A une hauteur d’environ 40 mètres, 196 « courageux » se sont élancés pour effectuer le saut de la mort et ce, après avoir effectué le parcours du combattant que représentait l’escalade de l’intérieur de la tour de l’édifice.

Après 2 heures d’hésitation et d’appréhension, quelques pintes dans le coco, Philox (eh oui, c’est moi !) a osé faire la descente vertigineuse…vue imprenable… c’était génial !





Bal populaire & feu d'artifice de clôture
Le soir, les organisateurs avaient mis sur pied un bal populaire et un feu d’artifice de clôture.
C’est devant un parterre de quelques 800 spectateurs que la représentation pyrotechnique (sons et lumières) a commencé. Documents d’époque, témoignages et diapos projetés sur grand écran ont conquis une assemblée émue, attendrie et même, quelques fois, recueillie (sniff...).

Après près de 30 minutes, le bouquet final a réjoui quelques peu les cœurs du public.
En deux mots, cela était grandiose et époustouflant… Bravo !.



samedi, août 29, 2009

EXPLORATION DU MONDE - RUMES - SAISON 2009-2010

RUMES

Hall du Centre Culturel "Fernand Carré"
Place Roosevelt




En soirée à 20 heures



Argentine, les routes du Nord, vendredi 25 septembre 2009

Madère, l'île aux mille couleurs, vendredi 20 novembre 2009




Sur la route de Compostelle, l'enfant du chemin, vendredi 29 janvier 2009

Nouvelle-Zélande, le bout du monde, vendredi 19 mars 2009

Abonnement pour les 4 séances au prix exceptionnel de 16 euros.
Renseignements : Administration communale de Rumes :
Philox 069/648.165

mercredi, août 19, 2009

vendredi, août 07, 2009

Fête de la moisson à La Glanerie le 15 août 2009








La fête de la moisson à l’ancienne de La Glanerie a lieu chaque année le 15 août en plein champ à la rue de L’Elnon près du petit hameau d’Howardries.

Cette fête rurale met à l’honneur le métier du « paysan » en mettant en scène les différentes techniques agricoles d’autrefois utilisées par nos parents ou grands-parents.

C’est sous un soleil de plomb, que le public venu en masse pouvait découvrir ou redécouvrir les différentes étapes de la moisson à l’ancienne : le sciage et le liage des gerbes de blé effectués manuellement par les femmes ; l’éventage, le battage au fléau ou le battage mécanique par le manège d’un cheval…

Des démonstrations de labour avec de vieilles charrues tractées par des chevaux de trait ainsi qu’ une exposition d’une vingtaine de tracteurs anciens ou de machines agricoles d’une autre époque étaient également présentées durant cette journée.

Une énorme pyramide de ballots de paille était érigée au centre du site que les enfants étaient invités à escalader…tant bien que mal. Des promenades en chariot attelé par des boeufs et une basse-cour de la ferme régalaient petits et grands !

Toutes ces attractions ont le mérite de remettre au goût du jour des gestes passés, qu'on aurait presque oubliés tant le métier d'exploitant agricole s'est modernisé.

Sous le chapiteau, les nombreux visiteurs s’abreuvaient non pas du « petit lait » des vaches mais des boissons dérivées du houblon !

Le terroir n’a pas non plus été oublié car des artisans locaux proposaient toute une gamme de produits de leur fabrication (c’est à voir ?) tels que fromages, saucissons, miel, pains au levain…

Coup de chapeau à la famille Benoit, cheville ouvrière de cette manifestation, entourée de tous les bénévoles !

Rumes, 15 août 2009.

Philox


mardi, juillet 21, 2009

Fête nationale à Taintignies


Avant de vous relater les festivités de ce week-end féérique à Taintignies, le cancre en histoire que je suis, vous fait un petit rappel sur les origines de la Fête Nationale Belge :


« C'est par une loi du 27 mai 1890 que la date du 21 juillet fut instituée Fête Nationale de la Belgique. Les Belges commémorent ainsi le serment fait le 21 juillet 1831 par Léopold Ier, premier roi des Belges, de rester fidèle à la Constitution. Cette Constitution garantit les libertés individuelles des citoyens et se fonde sur la séparation des trois pouvoirs : pouvoir législatif, pouvoir exécutif et pouvoir judiciaire. Le serment du roi Léopold Ier fut l'aboutissement des démarches qui firent de la Belgique indépendante une monarchie constitutionnelle et parlementaire.
Les festivités du 21 juillet, les édifices publics sont pavoisés en l'honneur de la Fête Nationale et la journée est ponctuée par des festivités populaires : bals aux lampions, feux d'artifices, spectacles.
L'hymne national belge est une chanson révolutionnaire, la Brabançonne. »

Bon bin voilà, c’est fait pour cette petite leçon ! Revenons-en à nos pénates… à Taintignies.

Samedi 18 juillet, quelques rencontres de kicker géant et de pétanque se sont déroulées durant toute la journée. La soirée disco a drainé plus de 400 jeunes (et moins jeunes) qui ont pu vibrer et danser sous « les sunlights » des années 80’ avec l’excellent Dj Alain aux platines.

Dimanche 19 juillet, sous le chapiteau plein à craquer, l’apéritif et le barbecue étaient animés par le groupe folk d’Ellezelles « E Saquant Beyaus » suivi par l’orchestre musette « Anthony Basilico » et ce, en présence de 250 convives.

La toute grande foule a déambulé dans le quartier de la place de Taintignies où environ 75 exposants avaient installé leur bric-à-brac traditionnel de puces de 15 à 21 heures.

Le fringuant géant rumois « Gaston, le machon » a défilé plus d’une heure dans les rues noires de monde en s’arrêtant aux deux « chapelles » du village....: La Presse et Le Saint-Amand. (malheureusement la maison du peuple était "close").

Vers 23 heures, le magnifique feu d’artifice, offert par le Collège communal, a émerveillé petits et grands.

Pour les plus résistants, le bal de clôture animé par Audiophase s’est terminé aux petites heures dans une ambiance incroyable !

Alors là j’en suis baba ! La fête nationale à Taintignies, c’était grandiose…j’en reste le bras « gauche » coupé (seul le droit fonctionne encore !) et je tire mon chapeau de zozo aux dévoués organisateurs !

Voici quelques clichés de cette joyeuse manifestation :





Rumes, 21 juillet 2009.

Philox

samedi, juillet 11, 2009

Biau baptême du géant rumois " Gaston, el' machon"


Le géant « Gaston » (Quel drôle de nom pour un géant ! et non pas pour un pape !) a pris les traits et la physionomie joviale d’un machon comme tous ces maçons du village qui ont fait la renommée de l’entité rumoise à travers la Wallonie picarde transfrontalière chère à notre « petit Rudy De la Motte ».

Hier midi, dimanche 12 juillet dernier, pour sa première sortie officielle et son baptême, à Rumes, le mastodonte a amené un public nombreux conquis et fier dans le hall sportif « Fernand Carré » à Rumes.


Le géant, baptisé à la bière ou toute autre boisson alcoolisée (à boire avec modération, bien entendu !) et une distribution de dragées, avait pour marraine la belle demoiselle Saint-Roch accompagnée de Madame de Cordant, toutes deux de Lessines et pour parrain le « petit » mais néanmoins courageux « Vendéen de Tournai ».


Géants et porteurs invités pour l'occasion étaient de la fête. En effet, les équipes de Lessines et de Tournai ont animées ce baptême du feu par une parade jusque la Place de Rumes et un rondo final dans la salle du hall.


Le géant « El machon » en deux mots :
La confection de la tête (eh la tête…) a été confiée à un artiste de Lamain ;
Le costume sobre « bleu sarrau » a été confectionné par les mains expertes de Mesdames Jacqueline Sieuw et Agnès Avet ;
L’ossature en métal (et non en osier) a été réalisée par Jacques Decerf (Entreprise Transmeca) de Rumes ;
L’ensemble mesure environ 4 m 30, pèse entre 60 et 70 kilos et nécessite un seul porteur.


L'animation musicale a été confiée à Rémy et André. Ce dernier a interprété la chanson du maçon de Maurice Chevalier qui semble plaire à notre mascotte rumoise.











La cérémonie du baptême a été suivie par un festin de « géant » : apéro surprise, porc braisé et ses pennetières ainsi que son dessert original « la brique rumoise ». Cette brique moelleuse et délicieuse a été réalisée par le très sympathique et ami boulanger local, Olivier Lecocq, de Taintignies (Cocorico !). A suivre…


































Cette naissance du « premier » géant rumois, après une gestation de 9 mois (ce n’est donc pas un bébé prématuré !), a pu voir le jour grâce au dévouement et l’opiniâtreté de son papa Xavier Ortiz, entouré d’une équipe de bénévoles. Félicitations et bravo à tous !








Gageons que « notre Gaston » fera, très rapidement, son entrée
dans la cour des « grands » !

Prochaines sorties :

Dimanche 19 juillet 2009 à Taintignies (Fête Nationale)
Dimanche 23 août 2009 à Tournai (ducasse du quartier Morelle)
Samedi 26 septembre 2009 à Rumes (carnaval de la pennetière)
Rumes, le 13 juillet 2009
Philox