Dimanche 25 octobre, c’est en présence de quelques 200 personnes que j’ai participé à la dernière représentation de la pièce théâtrale de Baudouin Deroubaix à la fois auteur, metteur en scène, régisseur et interprète de sa 2ème comédie « Nestor, le timide et la cinglée » au foyer Notre Dame à Rumes.
Qu’en dire ?
Ce « vaudeville » est une comédie populaire légère pleine de rebondissements, de quiproquos les plus burlesques et de scènes loufoques, qui se termine dans un imbroglio inextricable des plus étonnants.
Dès que les trois coups sont frappés par le brigadier (bâton de bois) sur la scène, la petite scénette interprétée par les jeunes élèves de l’école de théâtre donne déjà le ton de la soirée.
En effet, la description humoristique et anecdotique des différents acteurs « amateurs » de la pièce est tout simplement délirante !
Après cela, dans un décor savamment choisi et bien éclairé, les comédiens se défoulent en "déboulant" au public enthousiaste, le scénario rempli de dialogues et répliques subtils, de jeux de mots et même de gags quelque peu improvisés…
En fait, tout y est… pour passer deux heures de rires et de délires :
les accessoires tels que la dive bouteille (Bacardi pour la der des ders !) et un fusil de chasse capricieux; les coiffures, costumes et tenues parfois légères; les claquements de portes engendrés par des allers et retours incessants des acteurs sur les planches et enfin, un majordome "delhaizement" raffiné ( Nestor alias Léon Bonnet) et un bouffon de service (Sébastien, le timide alias Baudouin Deroubaix)… sans oublier, bien entendu, les autres rôles tout aussi indispensables !
Un coup de chapeau à tous ces acteurs bénévoles… et un bravo plus particulier à Madame et Monsieur le Comte du Roc de la Houpe (alias Marie-Thérèse Lejeune et Olivier Deroubaix, néophyte pour l'heure) qui ont interprété leur rôle avec justesse et conviction.
Bref, les absents ont eu tort...
Qu’en dire ?
Ce « vaudeville » est une comédie populaire légère pleine de rebondissements, de quiproquos les plus burlesques et de scènes loufoques, qui se termine dans un imbroglio inextricable des plus étonnants.
Dès que les trois coups sont frappés par le brigadier (bâton de bois) sur la scène, la petite scénette interprétée par les jeunes élèves de l’école de théâtre donne déjà le ton de la soirée.
En effet, la description humoristique et anecdotique des différents acteurs « amateurs » de la pièce est tout simplement délirante !
Après cela, dans un décor savamment choisi et bien éclairé, les comédiens se défoulent en "déboulant" au public enthousiaste, le scénario rempli de dialogues et répliques subtils, de jeux de mots et même de gags quelque peu improvisés…
En fait, tout y est… pour passer deux heures de rires et de délires :
les accessoires tels que la dive bouteille (Bacardi pour la der des ders !) et un fusil de chasse capricieux; les coiffures, costumes et tenues parfois légères; les claquements de portes engendrés par des allers et retours incessants des acteurs sur les planches et enfin, un majordome "delhaizement" raffiné ( Nestor alias Léon Bonnet) et un bouffon de service (Sébastien, le timide alias Baudouin Deroubaix)… sans oublier, bien entendu, les autres rôles tout aussi indispensables !
Un coup de chapeau à tous ces acteurs bénévoles… et un bravo plus particulier à Madame et Monsieur le Comte du Roc de la Houpe (alias Marie-Thérèse Lejeune et Olivier Deroubaix, néophyte pour l'heure) qui ont interprété leur rôle avec justesse et conviction.
Bref, les absents ont eu tort...
J'attends vivement l’année prochaine
3 commentaires:
besoin de verifier:)
Bonjour, je viens de visiter le blog à l'instant et en regardant les photos de la pièce de theatre, qui devait être très drole,j'ai reconnu quelqu'un que j'ai connu.
ça m'a fait plaisir! de voir les activités de RUMES car j'ai quitté mon village il y a quelques années.
le blog est super bien fait.
a bient^t
Bonjour Sandrine,
Je suis heureux que la visite sur mon blog te permette de garder un lien avec ton village de Rumes.
Je te remercie pour tes encouragements.
Bien à toi,
Philox.
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