vendredi, mai 05, 2023
vendredi, février 12, 2016
Exploration du monde - Désert d'Egypte - La Glanerie - 26 février à 20h.
Déserts d'EGYPTE
Film présenté par Dany Marique
À la Maison de village à LA GLANERIE le vendredi 26 février 2016 à 20
heures
Au-delà
du Nil, fleuve de civilisation, l’Egypte n’est que désert. Le Sinaï, terre de la Turquoise exploitée par les Pharaons, a été traversé par le
biblique exode de Moïse. Plus mystérieux encore, le Sahara Libyque est une
frontière naturelle remplie de secrets :
armée engloutie de Cambyse, mythique oasis de Zarzoura et la Grotte des Nageurs
aux confins de l’Océan de Sable. Pour certains, ce désert - jadis vert et
habité - a servi de matrice à l’Egypte pharaonique.
Infos : Secrétariat
communal de Taintignies : 069/648.165 ou
Le film
Quand on parle de l’Egypte, on
n’imagine souvent que le Nil, ce creuset d’une extraordinaire civilisation. Mais le Nil n’est en fait qu’une longue oasis
qui a réussi la traversée du désert.
Bordé
à l’est par la mer Rouge, le passage de l’Egypte à l’Asie se fait par le Sinaï.
C’est la Terre de la Turquoise,
exploitée par les Pharaons. Pour l’histoire des religions, le Sinaï est
une montagne sacrée. Au sommet, Moïse renouvelle le concept de dieu révélé, à
la source des monothéismes. Pas loin, le monastère orthodoxe de Ste Catherine
défie le temps : la 1ère chapelle date de 330 ap. JC. Ce Sinaï
est toujours habité, par des tribus bédouines maintenant soumises aux pressions
d’un monde qui les dépasse.
A l’ouest du Nil : le désert libyque,
le Sahara en fait, une frontière de sable et de roche. Et les sables recèlent
bien d’autres mystères. A commencer par le fameux
verre libyque cher à Théodore Monod. On y parle encore de l’armée engloutie de
Cambyse, de la mythique ville de Zarzoura – rêve fou de tout explorateur, de
l’oracle d’Amon, de la Grotte des Nageurs...
Le Sahara a
connu des
épisodes de sécheresse, un changement climatique qui a forcé les hommes dans
une longue migration vers l’eau, contribuant ainsi
à l'éclosion de l’Egypte
pharaonique. Ce film d’exploration suit les traces laissées par l’homme dans
cette migration. Mais il exprime aussi l’attraction immodérée et le plaisir
intemporel qu’offre un des déserts les plus arides de la planète.
Dany Marique
Diplômé en Biochimie et en Environnement de l’ULB, ancien
chercheur en cancérologie. Depuis ses premières découvertes de la planète, Dany
Marique est devenu guide accompagnateur en 1980, journaliste de Tourisme en 1990 et Conférencier depuis 1997. Atteint d’un virus de curiosité,
il arpente les antipodes avec trois obligations : rencontre des populations,
respect de la diversité et partage de l’expérience. Sa philosophie de voyage se
résume simplement : au retour, il doit y avoir plus dans la tête que dans
les bagages. Réalisateur de plus de 20 reportages
audiovisuels sur divers pays et peuples du monde, dont beaucoup ont été
présentés dans les cycles de France et de Belgique, il finalise actuellement la
préparation de documentaires sur l’Île de Pâques, l’Atlas du Maroc et le Bénin.
vendredi, janvier 08, 2016
LA GLANERIE - EXPLORATION DU MONDE - KIRGHIZISTAN - 15 janvier 2015 à 20 heures
KIRGHIZISTAN
Des chevaux et des hommes
Film présenté par Vincent Robinot
A la maison de village à LA GLANERIE
le vendredi 15 janvier 2016 à 20 heures.
Vincent
Robinot nous fait découvrir un pays méconnu : le Kirghizistan. Dans une démarche épurée, en immersion avec
un peuple nomade, avide de liberté et d'une grande hospitalité. Il parcourt
seul, à pied ou à cheval, ce magnifique pays de montagnes où les rencontres
ponctuent la narration de ce film.
Le
film
Vincent Robinot a
toujours été attiré par l’Asie centrale. Il y a une dizaine d’années, il s'est
particulièrement intéressé à la mer d’Aral, cette mer à l’agonie entre
Kazakhstan et Ouzbékistan, victime de l’intensive culture du coton. Depuis
2002, il a multiplié les voyages dans cette région où les montagnes s’invitent
au milieu de la steppe et où se croisent encore de grands cavaliers perpétuant
les coutumes pastorales. Plusieurs voyages qui ne l’avaient cependant pas
encore conduit, sur cette terre grande comme un tiers de la France et dont 40 %
du territoire se situe à plus de 3000 m d’altitude. De ce pays il ne
connaissait que le nom, si petit sur la carte, si discret à l’échelle
internationale.
Et pourtant, à la
croisée des Routes de la Soie, son histoire est grande. Chahutée par
différentes invasions, cette terre fut au carrefour des empires chinois, arabe,
mongol, perse, ottoman et soviétique. Une terre dominée par les pics enneigés
des Montagnes Célestes, les Tien Shan, habitée par un peuple initialement nomade.
De village en village, de
yourte en yourte, à pied ou à cheval, ce jeune réalisateur va à la rencontre
des kirghizes. Les portraits qui
ponctuent ce film nous plongent alors dans une culture nomade où le cheval est
roi, où rites et coutumes, façonnés dans le roc semblent préservés. Au fil de
cette chevauchée, portes et montagnes s'ouvrent et dévoilent leurs beautés.
Vincent
Robinot
Vincent
Robinot exerce le métier de réalisateur-reporter depuis une dizaine d'années.
Du Kazakhstan à l’Iran, de la Russie à l’Inde, ce sont les voyages qui l'ont amené au reportage. D'abord photographe,
il se tourne depuis une poignée d'années vers la vidéo et le documentaire. Il
affectionne particulièrement l’Asie centrale pour ses grandes étendues et ses
peuples empreints du passé soviétique. Il y mène notamment un long travail de
reportage sur la catastrophe de la mer d'Aral. De cette mer à l'agonie, il
remonte le cours du Sir Daria, un des deux fleuves qui l'alimente, et pose son sac à dos au Kirghizistan,
petit pays coincé entre Chine et Kazakhstan. Sur ce territoire montagneux,
habite un peuple semi-nomade, avide de liberté, mais dont l'hospitalité est
immense...
Infos : Secrétariat communal de Taintignies :
069/648.165 ou
Bruno DE LANGHE, Echevin de la
Culture : 0497/891.422.
lundi, novembre 23, 2015
Rumes(La Glanerie) - Exploration du Monde - JAPON - 11 décembre 2015 à 20 heures
Un thé au JAPON
Film présenté par
Maximilien Dauber
LA GLANERIE - Maison de
village – Vendredi 11 décembre à 20 heures
On dit souvent qu’aller au Japon, c’est voyager sur une autre planète.
Ce n’est pas tout à fait faux. Emprunter les routes séculaires dans les pas des
peintres voyageurs est une façon d’aborder ce pays au Soleil levant dans son
éternité et sa modernité.
Quand Tokyo
s’appelait encore Edo, cinq routes importantes reliaient la province à la
capitale du Soleil Levant. La plus célèbre fut celle du Tokaido, menant à
Kyoto. Si de nos jours, on a du mal à les reconnaître sous le béton, ces routes
impériales sont encore jonchées par endroits d’impressionnants vestiges féodaux
et de refuges paradisiaques naturels mis en valeur par les haïkus, ces
fragments poétiques émotionnels ramassés en quelques signes graphiques.
L’actuelle renommée de ces voies légendaires, nous la devons également aux
estampes d’Hokusai, d’Hiroshige et d’Utamaro qui arpentèrent avec talent ces
chemins séculaires. Nourri de ces arts depuis des temps immémoriaux, le peuple
nippon a développé une réceptivité toute particulière aux humeurs de la nature.
Les plus subtiles variations du milieu ambiant exercent sur son caractère,
constamment en éveil, une influence émotive, changeante. Du plus profond de
leur âme, les Japonais saisissent intuitivement l’impermanence des choses et
des êtres peuplant leur univers posé, ne l’oublions pas, sur une bouilloire
volcanique. Sans oublier, l’insularité qui conforte leur conviction que ces
sentiments, si profondément japonais, eux seul savent les partager.
De plus,
derrière une réalité quotidienne rigoureusement hiérarchisée, se cache une
puissance évocatrice, une force imaginative qui s’exprime dans la cérémonie du
thé, dans l’architecture épurée de leurs demeures, dans la charge symbolique
des bonsaïs accrochés au balcon. Pour se donner une illusion d’étendue là où
l’on ne dispose, comme à Tokyo, que d’une surface réduite, il suffit de créer
un petit espace clos, de donner de la densité au vide en matérialisant
l’irréel.
Vous l’avez
compris, voyager au Japon relève davantage du parcours initiatique que d’une
promenade exotique. Emprunter les routes séculaires dans les pas des artistes
et des poètes voyageurs est une des voies pour aborder en toute zenitude un
Japon éternel, moderne et éphémère tout à la fois.
Maximilien Dauber
Cinéaste
spécialisé dans le documentaire, il a réalisé plusieurs longs métrages dont
« Sahara des Peuls » ainsi que « La légende du Nil »,
« Bruxelles,… ma belle » ou encore « La Toscane , un certain art de
vivre ».
Il est
également l’auteur d’ouvrages illustrant les sujets de la plupart de ses
tournages. On lui doit de nombreux films
et livres sur l’Egypte ainsi que des travaux cinématographiques et photographiques
sur le Professeur Monod dont le portrait « Théodore Monod, un destin
nomade » diffusé sur la RTBF ,
France 3 et autres chaînes internationales.
Parallèlement
à ses tournages au Japon, il réalise avec Philippe Soreil une série
documentaire sur la « Wallonie, le terroir au fil de l’eau ».
CONTACT INFO :
Exploration du Monde
Infos : Secrétariat communal de Taintignies : 069/648.165 ou Bruno DE LANGHE, Echevin GSM : 0497/891.422.
Infos : Secrétariat communal de Taintignies : 069/648.165 ou Bruno DE LANGHE, Echevin GSM : 0497/891.422.
samedi, novembre 07, 2015
Acrho - "La Rumoise" - Dimanche 15 novembre 2015 à 10 heures
17ème Jogging "La Rumoise"
Date 15/11/2015 Départ 10:00 heures
Challenge Acrho -
9,150 kms
Lieu : Hall Fernand Carré
- Place Roosevelt, 7610 Rumes, Belgique
Téléphone : Marc Decubber
069/64.85.00
Gsm : Jean-Luc Debaisieux
0475/801.134 (Acrho)
lundi, octobre 12, 2015
dimanche, septembre 27, 2015
RUMES(La Glanerie) - Maison de Village - Exploration du monde
Rumes(La
Glanerie)
Maison
de village
LA
TERRE A BICYCLETTE
Film
présenté par Alice Goffart & Andoni Rodelgo
En
la salle de la maison de village, rue Albert Ier, 13 à La Glanerie
Le
vendredi 02 octobre 2015 à 20 heures.
En 2004,
Alice et Andoni décident d’enfourcher leurs bicyclettes et de tout quitter,
entamant un voyage plein d’incertitudes. Finalement, ils pédaleront 7
années. Pendant cette aventure, leurs
enfants Maia et Unai verront le jour.
Venez vivre cette odyssée, goûter à la poésie du voyage et à la magie
des rencontres, découvrir des images merveilleuses, reflets de la beauté du
monde qui nous entoure. Une aventure
profondément humaine dont on ne peut ressortir qu’ébloui!
Le film
Par une belle journée de printemps, Alice et Andoni
flânent dans un parc où se déroule une journée de promotion de la petite reine,
lorsqu'un stand attire leur attention.
Un jeune gars revient du continent africain qu'il a traversé à vélo pendant
4 mois. Alice et Andoni lui posent
tellement de questions sur son périple qu'il leur demande : "Vous pensez
faire quelque chose de semblable" ?
La réponse fuse, à l'unisson, affirmative, alors que le couple n'y avait
encore jamais songé jusqu'alors…
Deux ans plus tard, en juin 2004, Alice et Andoni mettent
donc leur projet à exécution. Ils
enfourchent leurs bicyclettes et quittent Bruxelles en laissant tout derrière
eux. Un départ vers l'inconnu, empreint
de bonheur et d'émotion, pour ces jeunes gens qui n'ont jamais fait de vélo ni
de bivouac, ne savent encore rien de leur destination ni, bien sûr, de ce que
leur réservera la route. Ils rejoindront
Berlin, puis Istanbul, Almaty, Tokyo, Vancouver, … Pour revenir à Bruxelles, 3 ans, 3 mois, 3
jours plus tard, la tête pleine de souvenirs et d'anecdotes glanées sur le
chemin. Et dans le ventre d'Alice, une
petite passagère clandestine qui verra le jour 3 mois plus tard !
Après un essai de sédentarisation, le couple décide de
repartir en 2010, accompagné de sa petite fille, Maïa, âgée de 2 ans, dans sa
remorque-vélo. Direction l'Afrique,
cette fois, puis l'Amérique latine où naîtra Unai, en Bolivie, en octobre
2011. Deux mois plus tard, la petite
famille se remet en route : l'Argentine, l'Océanie, l'Asie, pour une nouvelle
fois, boucler la boucle après un voyage de plus de 3 années. "La Terre à
Bicyclette" vous invite à partager cette odyssée, à goûter à la poésie du
voyage et à la magie des rencontres, à découvrir des images merveilleuses,
reflets de la beauté du monde qui nous entoure.
Une aventure profondément humaine dont on ne peut ressortir
qu'éblouis !
Tarif :
9 € la séance ou abonnement (4 séances) 16 €
Infos :
secrétariat communal à Taintignies Tél. 069/648.165 ou M. Bruno DE LANGHE,
Echevin de la culture, 0497/
89.14.22
Email : bruno.delanghe@gmail.com
samedi, août 15, 2015
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